Le 22 mai 2018, la première vague de réponses aux vœux formulés sur Parcoursup est parvenue aux lycéens. Au niveau national, plus de la moitié des candidats a reçu une réponse dès hier. Soit plus d’un million de propositions.
Pour les autres, les réponses sont en attente. Cette situation peut générer des incertitudes, mais pas d’affolement ! Nous n’en sommes qu’aux premiers jours d’un processus qui était annoncé dès le lancement de la plateforme le 15 janvier 2018 pour s’échelonner dans le temps.
Avec Parcoursup, le bachelier est remis au cœur du choix, pour améliorer son orientation, dans un objectif de personnalisation des parcours. Derrière chaque réponse, il y a un travail qualitatif qui nécessite du temps. Mais les délais seront tenus.
Les engagements du gouvernement aussi seront tenus :
- D’ici au début des épreuves du baccalauréat, deux tiers des candidats auront reçu une proposition.
- Avant les résultats du baccalauréat, 80% des candidats auront reçu au moins une réponse.
- Et chaque lycéen aura une proposition avant la rentrée.
Tous les matins, la plateforme sera actualisée. A mesure que chaque lycéen validera un choix, cela libèrera des places pour les autres.
Pour les candidats qui n’avaient fait que des vœux en filière sélective et qui n’ont eu que des réponses négatives, des commissions rectorales sont mises en place depuis le 22 mai pour accompagner les candidats et leur faire de nouvelles propositions d’admission. Toutes les informations pour saisir une commission sont précisées dans Parcoursup.
Pour de plus amples renseignements, un numéro verts est mis à disposition
0 800 400 070
La plateforme Inspire, labellisée par l’Etat, est pleinement mobilisée pendant les admissions. 15 000 étudiants éclaireurs y partagent gratuitement leur expérience avec les lycéens sur l’ensemble de leurs interrogations et pour les guider dans leurs choix d’études. Ces échanges ont lieu par chat sur le site ou par téléphone.
Le cru des bacheliers 2018 sera une génération pionnière.
Pour la première fois, personne ne sera tiré au sort, avec toute l’absurdité que ce procédé profondément injuste comportait.
A environ un mois des épreuves du baccalauréat, l’avenir des lycéens mérite mieux que le discours anxiogène de ceux qui veulent faire croire à l’échec de Parcoursup.