Chaque année la Députée Sandrine Le Feur se rend au contact des écoles et des équipes pédagogiques pour la rentrée des classes. Cette année le choix s’est porté s’est porté sur l’école de Sainte-Sève, qui compte 100 élèves répartis en 5 classes. L’école va bénéficier des fonds issus du Conseil National de la Refondation (CNR) dans le cadre du programme « Notre école faisons-la ensemble ».
En effet, suite aux concertations locales permises par le Conseil National de la Refondation (CNR), un fonds d’innovation pédagogique nommé « Notre école faisons-la ensemble » a été mis en place afin de susciter des projets au sein des écoles en matière d’amélioration du bien-être des élèves, de leur réussite et de réduction des inégalités. Il s’agit avant tout d’encourager les idées qui partent du terrain et répondent aux initiatives pédagogiques et aux défis locaux.
Il est doté de 1 111 711 euros pour l’académie dans le premier degré.
Que chaque école s’en saisisse !
Le projet pensé à Sainte-Sève a particulièrement retenu l’attention de la Députée. Il part des limites que posent la cour d’école pour en tirer autant de leviers pédagogiques.
Ainsi, n’ayant pas d’espace distinct pour les maternelles et les primaires, les équipes pédagogiques cherchent des astuces pour réorganiser l’espace et amener un meilleur vivre ensemble toutes classes d’âge confondu. Des activités communes sont proposées. L’idée est aussi de réinvestir une cour intérieure actuellement inutilisée pour y insérer une scène permettant la mise en place d’activités artistiques, théâtrales. Les enfants seront stimulés à diversifier leurs temps de récréation et à jouer ensemble !
L’autre volet du projet est également de développer des projets culturels avec des artistes et en lien avec le reste des habitants de la commune. Un premier cycle sera centré sur un travail avec la plasticienne Valérie Daubé et une exposition à le bar-tabac-épicerie du bourg le comptoir d’Elodie.
Sandrine Le Feur : « Le Conseil National de la Refondation a permis une nouvelle méthode pour construire ensemble, au plus près des français les solutions concrètes sur les grandes transformations à venir. L’intérêt est qu’il n’y a pas de cahier des charges préétabli. Ce sont au contraire les idées partant du terrain, les priorités de la communauté éducative qui sont valorisées.«