Les médias se font aujourd’hui l’écho du contexte favorable pour le pouvoir d’achat des français. Mesures d’urgences mises à part, sous l’effet de réformes structurelles que nous avons menées, la réalité est en effet différente de la perception que certains peuvent avoir ou cherchent à entretenir.

Non, la loi EGALIM ne pénalise pas le pouvoir d’achat des consommateurs

Il y a un mois lors de l’entrée en vigueur du relèvement de 10% du seuil de revente à perte certains, et non des moindres, jouaient les Cassandre. Mais la hausse est contenue sur les produits de marque, type pâte à tartiner et apéritif célèbres, qui ne sont pas réellement de première nécessité.

Ce qu’il faut souligner c’est que dans le même temps, les prix des marques de distributeur ont vraiment baissé. Deux cabinets de panels de consommateurs, Nielsen et Iri, ont analysé sur un mois le panier de la ménagère et objectivé le prix des produits de grande surface.

Le chèque énergie monte en puissance

Le chèque énergie était déjà un sujet de satisfaction l’année dernière. (voir mon précédant article à ce sujet)

Cette année, le chèque énergie est élargi à deux millions de bénéficiaires supplémentaire et augmenté en moyenne de 50 euros. Le montant moyen de cette aide aux dépenses d’énergie (fioul, bois, électricité, gaz) est de 200 euros, un coup de pouce significatif pour de nombreux ménages. Pour les ménages bretons, ils seront expédiés prochainement, du 15 au 19 avril.

Dernier motif de satisfaction, la croissance est solide

Elle sera meilleure que les prévisions, avec une hausse de 1,6% pour 2018. Un chiffre encourageant. L’INSEE a également confirmé que le pouvoir d’achat a grimpé, +1,1%, grâce à la baisse des cotisations sociales et de la taxe d’habitation.

Je reste pleinement mobilisée pour que nous continuions sur cette dynamique.